Sommes-nous trop dépendants de Google ?
Vous connaissez certainement le dicton qui dit : « il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier » ? Au quotidien, on le met tous en application en répartissant nos travaux sur plusieurs fournisseurs, ou en élargissant notre cible client. Seulement, pour le trafic de nos sites, nous sommes tous dépendants de Google. Or un jour Google pourrait nous supprimer de ses listings. Que se passerait-il alors ?Dans toutes les réunions et conférences concernant le référencement et le web-marketing, on ne jure que par les liens sponsorisés et le référencement dans Google. Seulement, au final, notre trafic est généré que par un seul site. Si celui-ci décide de ne plus nous référencer, nous perdons automatiquement de 50 à 100% de notre trafic en moins d’une journée.
Si d’un côté Google nous facilite la vie en nous apportant du trafic sans trop nous fatiguer, il peut également nous anéantir d’un simple clic sur le bouton « supprimer ». Personnellement, je viens d’avoir cette prise de conscience en lisant un article du Washington Post sur le sujet. Je me suis donc directement tourné vers notre outil de statistiques pour évaluer l’impact que cela aurait sur notre trafic. Et bien, çà donne des suées dans le dos !!!
Alors que faire ? Je pense qu’il va falloir axer beaucoup plus notre travail sur la mémorisation via peut-être des designs qui se démarquent, des informations percutantes et simples d’accès, des outils pour créer des alertes, etc … Il va falloir penser son site comme un magasin physique qui doit attirer le chaland dans sa boutique.
Mise à jour : le 10 avril 2007
Je viens de lire aujourd’hui que selon une étude réalisée par l’association Sempo, le référencement naturel serait utilisé par plus de 96% des annonceurs contre environ 51% pour les liens sponsorisés. Les objectifs recherchés seraient le développement des ventes (71%), le développement d’une marque (56%) et la génération de prospects “offline” pour 44%. Ces chiffres ont été publiés sur le site ebusiness.info et NetEco.
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