Un livre blanc sur la e-réputation

La société Digimind, en partenariat avec l’agence Opt’in Power, viennent de publier un livre blanc sur la e-réputation ou cyber réputation. Ce sujet commence en effet à préoccuper beaucoup de communicants car internet confère un pouvoir croissant aux « anonymes » (petits clients, employés, associations, étudiants, …), qui en quelques clics peuvent interagir sur votre image de marque.

Dans leur communiqué, ils citent les résultats d’une étude qui a montré que parmi les 100 entreprises du classement Fortune 100, 29 d’entre elles disposaient d’articles « négatifs » en première page de Google quand on tape leur nom. Ces contenus considérés comme « négatifs » reprenaient des décisions de justice défavorables, des campagnes de dénigrement, des sites contestataires, etc.

Si on reprend les résultats des études sur les internautes influents, on se rend bien compte que le souci réside dans cette masse de plus en plus importante d’internautes consommateurs de contenus qui relaient les informations d’une poignée.

Les directeurs de la communication ne sont donc plus vraiment maîtres de la communication institutionnelle de leur marque. Ils doivent jouer avec ce nouveau contre pouvoir que sont les internautes influents. Cela exige donc une réflexion sur nos manières de penser la communication, et de façon plus large, sur le management même des entreprises.

Vos réactions

  1. ---

    Je vous invite à lire l’article de Opinion Watch sur l’opération menée par Greenpeace contre le Keleos de Renault. On se rend en effet très bien compte qu’en très peu de temps, Greenpeace occupe autant le terrain médiatique que Renault autour de son dernier véhicule.
    http://www.opinion-watch.com/greenpeace-contre-le-buzz-du-4×4-renault-koleos-sur-le-net/
    A méditer pour vos prochaines actions.

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