Ne pas abuser des pictos …

La semaine dernière, en travaillant sur la conception d’une documentation commerciale, je me suis rendu compte que j’étais incapable de définir par un adjectif ou une expression la plupart des pictos présents sur la création de base.

Ce matin, en lisant le passionnant site Green IT, je découvre que Fujitsu Siemens, qui est déçu par les ventes stagnantes de ces modèles verts auprès des particuliers, soulève également la question de la compréhension des pictos.

Si les pictos, avouons-le, facilitent la gestion des traductions et l’explication de concepts techniques, ils ne sont pas toujours compréhensibles. Pourquoi ? Parce que nous ne partageons pas tous les mêmes références. Si pour certains la simple évocation de la couleur verte dans un picto va leur suffire à penser qu’il s’agit d’un produit écologique, pour d’autres, il faudra d’autres référents visuels pour en démontrer l’aspect environnemental.

Depuis quelque temps, je m’amuse d’ailleurs à un petit jeu : définir chaque picto en deux ou trois mots. Vous verrez qu’au final, vous serez parfois plus convaincu d’utiliser des arguments textuels simples et compréhensibles que des pictos. Comme quoi, deux ou trois mots valent parfois mieux qu’un picto.

Vos réactions

  1. ---

    Je pense même que l’on peut pousser le raisonnement plus loin… en l’appliquant à tout type d’images et d’illustrations… et puis, il y a l’interprétation de ces images, comme ici : http://www.ed-productions.com/leszed/index.php?image-verite-portraits (pardon pour la pub :-)

Laissez un commentaire