Des chiffres sur l’emailing en 2008

Année après année, l’impact des emailings diminue, selon les analyses de la société Experian CheetahMail, publiées dans le Journal du Net.

En quatre ans, les taux d’ouverture moyens ont baissé de 20 points pour atteindre un niveau de 19,67% tous secteurs confondus (14,77% pour le BtoB). Les taux de clics sont également en baisse pour atteindre des moyennes de 3,5% (tous secteurs confondus) et 1,2% (en BtoB).

Le seul indicateur qui se maintient est le taux de réactivité (rapport entre le nombre de clics et le nombre d’e-mails ouverts) qui atteint une moyenne de 18% (tous secteurs confondus) et 8,28% (en BtoB). Cet indicateur permet de noter que quand la cible est optimisée, l’emailing demeure un outil efficace.

Vos réactions

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    Oui, c’est juste. La cible, la fréquence, le moment, l’offre, le comportement… : c’est un travail en finesse qu’il faut conduire aujourd’hui.

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    un message pour vous dire que j’aime beaucoup suivre votre blog. Etudiant en com et actuellement en stage pour un site internet, vos billets suivent à chaque fois les problématiques et sujets que je traite.

    Quand aux chiffres de l’emaling, j’ai observé mon propre comportement par rapport à l’emailing et cela correspond assez à ces résultat…pas étonnant

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    En effet, ces chiffres sont le résultat d’un abus de l’emailing. Trop d’emailings sont envoyés. Comme cela ne coûte pas cher, on envoie de façon très large et donc on pollue. Cette pollution mal ciblée a un revers : un désintérêt croissant des lecteurs.

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    Effectivement, ma première était à 25 %, et maintenant autour de 2.5 % (BtoC), c’est à n’y rien capter.

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    Bonjour,

    Je n’arrive pas à faire la différence entre le résultat que je vais obtenir avec le taux de clic et celui que je vais obtenir avec le taux de réactivité.

    Je pense que le taux de réactivité va m’apporter une information plus précise que le taux de clic, mais je n’en suis pas sur.

    Pourriez-vous m’éclairer?

    Merci beaucoup

    Sélim

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