Nouveau concept : le green graffiti

Et si votre prochaine action de street marketing était totalement eco-friendly : sans peinture, sans colle et totalement recyclable ? Rien de plus simple, faîtes des green graffitis. A l’aide d’un nettoyeur haute pression et de pochoirs, nettoyez les murs et trottoirs pour les transformer en supports de communication.



L’idée est vraiment intéressante et pertinente pour une communication plus durable. Elle devrait ouvrir toute une série d’innovations en matière de green advertising où des supports existants seront simplement détournés pour faire passer un message. Les arbres, pelouses, bitumes, … et autres supports seront certainement les prochains billboards verts.

A méditer …
Pour en savoir plus, lire l’article d’Influencia.

Vos réactions

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    Vraiment génial, effectivement cela ouvre des portes!

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    QUID de l’eau utilisée, est-ce au final si eco-friendly ? Qu’en pensez-vous ?

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    L’usage d’un nettoyeur haute pression est à mon sens plus écolo qu’un autre support comme de la peinture (qui nécessite aussi de l’eau pour nettoyer le matériel). Vous pouvez à mon avis, utiliser de l’électricité verte et de l’eau de pluie pour rendre votre opération encore plus “green”.

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    […] Le green graffiti – Arnaud Meunier […]

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    Effectivement une bonne idée… qu’une autre enseigne a exploité récemment, sur Lille :-) (http://www.concepteur-redacteur-blog.com/2010/04/05/concours-photograff-kbane-jeu-de-piste-durable/ et http://lespiedssurterre-leblog.danone.com/semaine-du-developpement-durable-un-jeu-de-piste-durable-sur-la-metropole-lilloise-a-ne-pas-manquer/) J’ai travaillé sur l’opération de Kbane, un jeu de piste durable basé sur le reverse graffiti. Et comme l’a souligné Mickael, nous avons utilisé de l’eau de pluie récupérée, puisqu’un seul reverse graffiti consomme quand même 150 à 200 litres d’eau !

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    Qui se préocupe de cette dépense, de ce gachis journalier? si peu de monde! et que ferons, ou que feront-ils nos descendants quand il n’y aura plus d’eau? ah si nous avions su! ah si nous pouvions revenir en arrière! mais non réagissons dès maintenant

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    Très intéressant, cela évite d’asperger les trottoirs de produits toxiques.

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    Bonjour,
    Nous utilisons effectivement 15 à 20L d’eau par impression (et non 150-200L!). Nous donnons une somme fixe par litre d’eau utilisé à une ONG Brésilienne qui récolte, stérilise et stocke l’eau dans une région semi aride du Nord Est du Brésil.
    En deux ans nous avons fournis de l’eau potable à 514 personnes pour 15 ans via la fondation GreenAdsBlue.
    Cordialement

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    Le cleantag (ou clean tag) ou tag propre vient de faire son apparition sur Lyon, Marseille et Paris, par le biais de Cleancom ( http://www.cleancom.fr ) qui propose de nouveau moyen de communication écologique et éphémère. (exemple : tag propre, tag sur neige, sur sable, glace et bois) « Ayez un impact sur vos clients pas sur la planète » (cf) Cleancom.

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    Trés Créative ! Moi personellement je n’aurais jamais pensé a une chose pareille, et pourtant c’est tellement simple.
    Chapeau Bas au Créateur 😉

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    Pour continuer dans ce même thème vous pouvez avoir une idée sur l’eco-conception et le cleantag en relation avec les réseaux sociaux via le site: http://communicationpropre.wordpress.com/

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    Bonjour
    Cleancom propose des solutions de communication respectueuses de l’environnement, audacieuses et innovantes. Vous pouvez découvrir cleancom via ce site: http://www.cleancom.fr

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