De la publicité olfactive dans votre journal
Le site InformationWeek vient de dévoiler le projet du Wall Street Journal et du USA Today d’essayer d’ici peu un format de publicité olfactive dans leurs colonnes. Lire la suite…
Le site InformationWeek vient de dévoiler le projet du Wall Street Journal et du USA Today d’essayer d’ici peu un format de publicité olfactive dans leurs colonnes. Lire la suite…
L’agence de marketing sensoriel By Volta propose un revêtement de sol interactif qui diffuse des images en fonctions des mouvements. Lire la suite…
Renault a ouvert un laboratoire spécialisé dans l’étude des sons émis par leurs voitures. Aujourd’hui, les automobiles font de moins en moins de bruit, et chaque son peut être amplifié ou atténué. Les ingénieurs de chez Renault s’intéressent donc plus en détails à cette maîtrise du son pour réaliser une identité visuelle propre à la marque.
Nous touchons là une exploitation industrielle du marketing sensoriel. Ces recherches élargissent considérablement la notion d’identité pour une marque. Le bruit, le toucher, le gout et l’odeur rejoignent donc le visuel et les mots. Un peu comme les Harley Davidson que l’on reconnaît au bruit, les voitures se distingueront peut-être aux sons de leur moteur, de leurs portières ou encore de leur clignotant.
Source : Europe 1, sur le journal de 8h du 30/09/2005.
Voici un exemple très concret de marketing olfactif …
Pour la sortie du jeu vidéo Midnight Club 3, l’éditeur a décidé de diffuser des cart’com qui dégageront une odeur de pneu brûlé . Une façon innovante de donner l’envie aux futurs joueurs de faire crisser les roues.
Après le son, l’image et le multimédia, la révolution marketing sera certainement olfactive. De plus en plus d’entreprises s’intéressent au pouvoir des odeurs. Qui peut résister à l’odeur du pain chaud en passant devant une boulangerie ? Lire la suite…