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L’annonce vient juste de tomber, une nouvelle association de communicants eco-responsables vient de voir le jour : L’association pour une communication plus responsable. Née en 2008 autour d’un groupe d’agences parisiennes, l’association vient de se constituer et ils annoncent déjà plus d’une cinquantaine de membres.

A la lecture de leur programme, leur démarche semble plus politique et régulatrice que didactique. On est en effet loin des conseils un peu simples de comment imprimer sur du papier recyclé. Ils mettent en avant une volonté de réguler la publicité avec un véritable organe indépendant (comme le CSA) avec un mode de financement et un pouvoir de décision sur la profession.

Plusieurs blogs viennent de mettre en avant un fait très intéressant : les lecteurs suivent les regards des personnages présents dans la publicité. On savait déjà qu’une présence humaine attirait plus l’attention, voire rassurait et renforçait un message par rapport à une création sans présence humaine.
On sait aujourd’hui que le regard des acteurs d’une publicité influe sur le regard du lecteur. Ainsi, si le personnage présent dans la publicité fixe le produit ou le slogan, le lecteur accordera plus de temps et d’importance au message.

Les zones en rouge sont les zones les plus regardées (fréquence et durée).
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Lu ce jour dans le newsletter de CB Webletter : « Une bannière traditionnelle clique à 0.05% – soit 5 clics tous les 10,000 affichages. Alors qu’une bannière re-ciblée, clique aux alentours des 0.35% – 35 clics tous les 10,000 affichages. Un ratio de 1 à 7. Mais  99.65% des bannières re-ciblées ne sont pas cliquées. »

Est-il dans les faits encore judicieux de parler de taux de clics, face à de tels résultats ? N’est-il pas plus pertinent de revenir simplement au concept de notoriété, car autant le dire la publicité en ligne n’incite pas au clic. A mon sens, la frontière entre la publicité en ligne et classique ne peut plus s’appuyer sur l’interactivité.

Je me suis posé cette question après une discussion avec un communicant qui doutait de l’efficacité d’une publicité parce qu’elle ne respectait pas certaines règles établies dans le passé, du genre : le logo est toujours en bas à droite car le regard fait un Z, on n’utilise pas le « Je » ou le « On » en communication, etc. Des règles de ce type ont en a tous en tête. On les applique souvent, on les impose parfois et on les renie rarement.
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Le CSA vient en effet de créer un nouveau concept de publicités, qui s’opposent à la publicité commerciale classique : la publicité générique. Il s’agit des spots publicitaires qui seront autorisés sur les chaînes de France Télévision entre 20h et 6 h du matin, c’est à dire aux heures où la publicité classique est à présent interdite.
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En ces premiers jours de janvier, les bonnes résolutions sont au coeur de toutes les conversations et de certaines publicités. Avec sa dernière campagne « changeons l’automobile », la marque Renault joue une carte très importante : s’imposer comme le créateur de la voiture électrique.

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Quand l’humour anglais tourne en dérision le débat sur l’avenir de la presse écrite papier, cela donne cette publicité très réussite pour le journal The Sun. Un joli message d’encouragement pour la diversité des supports car non, il n’y a pas que le numérique dans nos quotidiens …