Une étude réalisée par la plateforme Dolist pointe les différents comportements des professionnels face à l’emailing BtoB en 2015. Cela conforte plusieurs tendances déjà recensées : le lien assez faible entre emailing et achat, les motivations d’ouverture et les conditions de lecture (horaires et supports).
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Tout le monde s’accorde à reconnaître que les envois massifs de messages par email ne sont plus efficaces. Avant de mettre en place des logiques de trigger marketing ou de one to one, une bonne segmentation de votre fichier s’avère donc recommandée.
Le site MarketingProfs propose justement 8 principes simples à mettre en pratique pour bien définir le profil de vos contacts :
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L’agence B2D1 vient de packager une offre très « Green IT » pour offrir une campagne d’emailing verte et responsable. A mon avis, on frôle le greenwashing, mais ils ont au moins le mérite de mettre en avant que l’emailing, tout comme le web et l’ensemble de l’informatique sont aussi très consommateurs d’énergie.
Leur offre consiste à router les emails via des serveurs alimentés par des énergies renouvelables et à conseiller les clients sur une meilleure segmentation et qualification de leur base pour éviter les NPAI, et la pollution de messages publicitaires. La finalité est donc d’envoyer moins, mais mieux et avec de l’énergie verte. Le tout pour avoir des campagnes plus économiques.
Comme quoi, plus on est responsable et respectueux et plus on gagne de l’argent.
Le site e-marketer.com vient de publier les résultats d’une étude menée par le cabinet Forbes sur la perception qu’ont les marketeurs de l’efficacité des outils marketing interactifs. En fonction de l’objectif (vendre ou promouvoir), les résultats sont légèrement différents. Je vous en laisse juge …
Année après année, l’impact des emailings diminue, selon les analyses de la société Experian CheetahMail, publiées dans le Journal du Net.
En quatre ans, les taux d’ouverture moyens ont baissé de 20 points pour atteindre un niveau de 19,67% tous secteurs confondus (14,77% pour le BtoB). Les taux de clics sont également en baisse pour atteindre des moyennes de 3,5% (tous secteurs confondus) et 1,2% (en BtoB).
Le seul indicateur qui se maintient est le taux de réactivité (rapport entre le nombre de clics et le nombre d’e-mails ouverts) qui atteint une moyenne de 18% (tous secteurs confondus) et 8,28% (en BtoB). Cet indicateur permet de noter que quand la cible est optimisée, l’emailing demeure un outil efficace.
L’agenceéditeur de logiciel Message Business lance dans les prochains jours un nouvel outil de veille sur l’emailing : l’emailing radar.
Ce dernier recense les billets relatifs à l’emailing de plusieurs blogs en un seul lieu. Rien d’extraordinaire me direz-vous. En effet, mais il a au moins le mérite de nous faciliter notre travail de veille.
Voici donc l’adresse à ajouter précieusement à vos favoris ou à votre lecteur de flux RSS :
http://www.message-business.com/emailing-radar.aspx
Une étude réalisée par Experian CheetahMail sur le marché français de l’emailing en 2007, montre concrètement que nos comportements face aux emails ralentissent le marché. Notre changement de comportement soulève une nouvelle fois la question de l’avenir de cette forme de marketing direct.
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